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Note moyenne de cet épisode: 14.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 2
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russel 
14.0
14.0
Bon je réponds présent pour le génie de Rowan Atkinson à sa grande époque télévisuelle de Blackadder et Mr. Bean plus que pour ce qu'il a pu faire ensuite sur le grand écran. Là c'est évident qu'on est plus sur du Mr. Bean. Le principe est assez simple. Atkinson joue le couillon comme il sait si bien le faire et il s'ajoute un bourdon (pas une abeille en fait) pour l'aider à semer le souk. Mais franchement, même sans le bourdon, on sait qu'il est capable de tout massacrer à lui seul comme un grand. Mais le bourdon numérique est bien fait, ça fait plus actuel pour le public Netflix.
Mr. Bean, Trevor pour l'occasion, fait donc du gardiennage chez un riche couple de bobos chiants. Le pilote permet essentiellement de procéder à l'inventaire des biens d'une valeur indécente que le sauvage va pouvoir massacrer. Et le bougre ne traîne pas pour tout ruiner.
Il y a un côté assez prévisible. Le manuel de la maison par exemple je me suis dit que c'était le premier truc qui allait partir. Dés le moment où il le pose sur la cuisinière, je savais que c'était cramé. A ce stade c'est plus cruel que franchement drôle. Je suis plus peiné pour lui qu'autre chose de le voir s'enfoncer inextricablement dans les emmerdes. Ca se vit un peu comme un cauchemar. La barraque a un côté très Tati avec ses gadgets ridicules qui renvoient à Mon Oncle. Le format est court, donc ça se mate sans une grosse mobilisation. Une petite crainte que ça tourne au répétitif. Pourvu que Trevor reste éloigné des caisses qui semblent être les machins les plus coûteux dans la bicoque (en sachant parfaitement qu'il n'en fera rien)
Mr. Bean, Trevor pour l'occasion, fait donc du gardiennage chez un riche couple de bobos chiants. Le pilote permet essentiellement de procéder à l'inventaire des biens d'une valeur indécente que le sauvage va pouvoir massacrer. Et le bougre ne traîne pas pour tout ruiner.
Il y a un côté assez prévisible. Le manuel de la maison par exemple je me suis dit que c'était le premier truc qui allait partir. Dés le moment où il le pose sur la cuisinière, je savais que c'était cramé. A ce stade c'est plus cruel que franchement drôle. Je suis plus peiné pour lui qu'autre chose de le voir s'enfoncer inextricablement dans les emmerdes. Ca se vit un peu comme un cauchemar. La barraque a un côté très Tati avec ses gadgets ridicules qui renvoient à Mon Oncle. Le format est court, donc ça se mate sans une grosse mobilisation. Une petite crainte que ça tourne au répétitif. Pourvu que Trevor reste éloigné des caisses qui semblent être les machins les plus coûteux dans la bicoque (en sachant parfaitement qu'il n'en fera rien)
